AccueilAccueil  CalendrierCalendrier  Dernières imagesDernières images  FAQFAQ  RechercherRechercher  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

 

 vultures ×

Aller en bas 
AuteurMessage
Macallister Exum
Macallister Exum
avions de papier : 9
embarquement : 23/10/2021
langue rp : français, dialogue bilingue
pronom : tu

vultures × Empty
MessageSujet: vultures ×   vultures × EmptySam 23 Oct - 5:58


macallister exum
"every fire that ive ignited faded to gray"
thirty-one | former nurse, now bellboy | single

talk about you
• les grillons avaient endormi la ville ; la lune n'avait plus rien à envier au soleil. le réconfort d'une paume brusque ta respiration creuse, forçant ton visage enfantine à se dissimuler contre les plumes écrasées de l'oreiller. c'est déjà l'heure ? sifflé parmi l'espace laissée par les dents tombées. lorsque tu abandonnes une suffocation prématurée, tu croises de tes mirettes collées le faciès endormie de ta petite souris. puis, tourné sur le flanc, c'est l'inquiétude indéchiffrable sur la porcelaine de maman qui ramolis tes traits. l'est quelle heure..? tu sens le poids d'une nuit sur ton derme; à moins d'être la terreur de maman que tu sens contre ton âme. tes mèches se mélangent entre ses doigts lorsqu'elle t'invite de la suivre, quelques sacs gonflés à ses pieds. une obligation muette d'être plus qu'un petit garçon, lorsque tu t'extirpes de ton lit pour ramasser quelques ganses. t'as ton doudou ? la plus jeune le tend vers toi et tu souris dans les nuages opaques de fatigue. et en silence, vous allez vous retrouvez plusieurs heures sur la route. sans votre père.
• [tw : décès] tu traverses la ruelle, comme la routine le demande. pour une fois, ton petit ange ne te tient pas la main ; tenue au repos sous une montagne de draps chauds. tu t'interromps pour récupérer une branche d'arbre et ainsi la glisser sur les planches désuètes des clôtures des cours privées. puis, le crescendo funeste des sirènes de pompier rompent les exclamations joyeuses habituelle du quartier. l'odeur en symbiose à la fumée prend un délai avant de perturber ta tranquillité. jusqu'à ce que lentement, la distance entre ton corps lourd et la maison semble s'éterniser. le gravier s'allonge, la vision s'étire. le sang cascade jusqu'à la plante de tes pieds. lorsque les serpentins de couleurs chaudes embrassent les pierres grises de ta maison. plusieurs heures après ce spectacle à cicatriser tous les rêves et manipuler chaque cauchemars; les ailes de ta petite soeur ont été brûlé à tout jamais. et maman n'aura plus jamais la force d'en être une.
• les pieds sont à plat sur les carreaux, les mains liées pour un peu de contrôle. l'attente est vile, alimentant les pensées qui ne cessent de chanter leur anxiété. parce que ta carcasse malmenée se rappelle. à chaque syllabe de son prénom, tu étouffes. nommé père, jamais papa. les sentiments qui n'cessent de pourrir. tu dresses les yeux lorsque la porte s'ouvre et que sans mot, c'est l'obligation. alors tu te lèves, un dernier regard de désespoir lancé sur la dame qui garde la tête baissée. tu le suis, poussé dans le creux du dos pour accélérer le pas. lorsque la portière claque contre ta jambe, tu fermes les yeux. à creuser là où ta fierté de jeune garçon dort encore. t'espères seulement qu'il ne reprendra pas cette habituelle cruelle de t'enfermer dans le coffre, lorsque l'envie lui dit.
• [tw: violence physique] les quarts de travail qui s'enchaînent, à dormir sur un matelas semblable à une planche de bois. réveillé sans repos, juste le temps de replacer l'uniforme pour aller le tâcher d'urgence. le sang, les beuglements, les larmes. ta folie qui se nourrit des drames admirés. calmée de médication volée sur les étagères pas assez bien surveillées. il n'a suffit que d'une suspicion, et de quelques minutes devant la caméra pour qu'on te confronte, les deux mains en pression sur une blessure à faire tourner de l'oeil. tu as black out, d'une violence cumulée depuis tant d'années. si les agents de sécurité n'avait pas accouru pour arracher le médecin de tes coups : t'aurais eu l'inconscience de l'achever pour l'éternité. nuits regrettables au poste de police; il fallut attendre un verdict avant de pouvoir respirer. ton diplôme tombe en cendre, mais au moins, tu n'es pas emprisonné.
• [tw: relation toxique] aimer. toujours plus fort lorsque vous criez, toujours plus tendre lorsque vous cessiez d'exister. les taquineries parfois injurieuses, les caresses parfois malveillantes. les parfums piquants d'alcoolisme, ou aliénant d'herbe fumée. puis les portes claquent pour forcer la solitude; les plafonds sont soudainement admirés. de vide, les remises en question qui ne viennent pas. les nuits à se chercher, à se pousser sur les bordures de routes jusqu'à être lécher par les phares agressifs. tu n'étais pas mieux qu'elle, elle n'était pas pire que toi. nivelé dans votre incapacité à se respecter, mais avoir la sincérité d'un amour dans l'oeil. c'était peut-être trop fort, déstabilisant. ce particulier besoin de manipuler les faiblesses, éveiller le mal. s'oublier et se chercher pour ne jamais vraiment arrêter de se déchirer.

your family
qui sont tes parents › hector, aux rêves qui s'arrête là où la bouteille de bière se termine. la cinquantaine avancée qui bouchent les artères et fait grincer les articulations. une canne au poing, les grognements bestiales; le mauvais dans la gorge comme un cancer oublié. // charlotte au chant aussi pur qu'un rossignol, une cinquantaine approchée, mais une trentaine figée dans les souvenirs post-traumatisme. internée sans être oubliée. les fleurs sont changées à toutes les semaines sur l'unique table qui tiennent ses regrets.
tu as des enfants › deux modèles parentaux qui pèsent ; impression d'être empoisonné de leur manque de savoir faire. ton attitude malavisée qui ne risque pas de se placer de si tôt. l'âge qui avance, l'incapacité toujours aussi mordante. il n'est jamais trop tard, mais tu n'espères pas d'un jour être papa.
frères et soeurs › photographie froissée dans un portefeuille de cuir usé. un amas de souvenirs qui s'entachent de cette odeur à ne jamais oublier. tu avais une soeur, quatre ans plus jeune. elle a cessé de vieillir, mais tu rêves de cette possibilité en larme muette. il y a eu néanmoins cette surprise un jour : de prendre conscience que l'inefficacité de ton père a entaché les rêves d'une seconde famille, lorsque la tienne s'est mise en fuite. un demi-frère, de sept ans ton benjamin. la rencontre s'est faite en fracas, mais l'intérêt fraternel cherche seulement à naître.
tes origines › né dans le wisconsin, l'histoire qui n'a jamais quitté le territoire américain. aucune carte ouverte ou l'espoir d'un ailleurs. prêt à vivre et mourir à cet endroit : comme tous les exum.

the notebook
situation amoureuse › le célibat en idéaux plus sain, mais toujours autant nauséabond. les nuits d'acharnement sur des corps qui n'ont que la nuit à pardonner. une douceur épuisée pourtant à offrir aux yeux les plus brillants. tu ne cherches pas les je t'aime et la nécessité d'être accompagné. tu sais te débrouiller sans ces besoins singuliers.
c'était quand ta dernière relation › une invitation envoyée il y a trois mois, par réseautage de rencontre. un jeune homme, une quête, une réflexion. jamais complétement assuré de ton hétérosexualité. saveur différente, chaleur enivrante. lorsque le jeu s'est épuisé, tu t'es éloigné. puis ça s'est terminé le mois passé; mais le contact ne s'est pas totalement estompé.
combien de temps a duré ta plus longue relation › sept mois, give or take. ces cicatrices d'un temps qui s'éternise. les textos qui tentent toujours de ramener les démons sur table. tu ne sais pas si tu auras la patience d'établir un nouveau récit sentimental. même si dans les faits, ça pourrait t'aider, si tu ne tombes pas sur ton propre reflet.
tes meilleurs amis › la loyauté qui ne fait pas fuir l'amitié. s'endurer envers et contre tous; à coup sur la mâchoire et réconciliation immédiate. le réconfort délicat, être un homme sans savoir l'être réellement.  
tu habites avec qui › les bouteilles de bière vides abandonnées sur le sol, assiette oubliée sur le comptoir, les aliments pourrissent dans le réfrigérateur... la solitude et le désintérêt se voit, l'attention au détail aveugle même lorsqu'une invitation à baiser s'envoie brusquement. il y a pourtant une chambre vide, sans chercher à la combler. seul le temps prouvera ta capacité à tolérer la normalité d'une seconde vie.

be yourself
ton métier ou tes études › le succès et le sang froid d'une étude acharnée pour être infirmer. jusqu'à ce que tout s'effrite et que tes états d'âmes viennent mettre fin à ta fonction. silence et mensonge face à ce renvoie, une aide familiale vient récupérer ta droiture et ta force comme chasseur d'hôtel (communément appelé bellboy).
tu habites où › enfant de bayfield, tu t'es terré dans les rues plus appauvries de la ville; dunn comme terrain de repos et de crises nocturnes. t'espérais être assez loin pour ne pas le voir cogner à ta porte. qu'il ne prenne pas l'effort de faire ce chemin; alors qu'il t'arrive de te tenir debout devant sa porte. peut-être dans le seul espoir de voir quelqu'un d'autre l'ouvrir.   
tes passions › le plomb sur le coin d'une facture, sur la surface lisse d'une table à dîner. des chiffons de papiers de réalismes macabres ou de beauté naturelle. jamais montré, confiance brisée. puis il y a la passion d'autodestruction. consommation d'arsenic des temps modernes. en profonde alliance d'un contact humain, ravageant, aliénant.
c'est quoi ton rêved'arrêter d'être toi. d'avoir cette vie forcée par un père qui a marqué ton corps de traumatismes; de devoir prendre le temps de visiter une mère enfermée dans sa propre carcasse et de devoir poser une nouvelle peluche devant une tombe que des individus prennent une joie de voler. tu rêves d'un téléroman bien barbant ; sans rebondissement, où l'amour sent plus fort qu'une eau de toilette chanel.
problème de santé › léger trouble de stress post-traumatique, des endroits restreints au mouvement impossible. ils disent que des aspects de ta personnalité proviennent tout droit d'un traumatisme répété. tu continues néanmoins de rejeter l'aide, comme elle n'est jamais venue au moment d'en avoir le plus besoin.
complexeil ressemble tellement à son père, qu'ils disaient. une grandeur similaire à la mâchoire sculptée dans le même marbre. les yeux calqués; les commissures qui forment la même courbe. ton reflet te complexe, par mépris et terreur de la dernière personne que t'aurais voulu garder dans ta vie.

tell me more
quelques revues aux pages déchirés d'un temps jamais connu. admiré d'une mère qui n'avait que des apparats tout droit sorti de ces années perdues. les cinquantes au gel et à la classe atypique. tu y démontres toi aussi, un certain intérêt, dans la manière de te vêtir. || un cane corso, à l'âge avancé, dort toujours sur le perron de la maison de ton père. votre ancienne maison. tu mets un point d'honneur à le récupérer pour un peu de chaleur et l'optique d'un vrai toit aux lumières tendres. beaucoup plus penché à donner l'aide aux bêtes abandonnées que celles à la floraison d'une vie. || une monture abandonnée sur la table basse, les formes qui se fondent en couleur sans te déranger. les maux de têtes accumulés, parfois réglé de lentilles. myopie légère qui n'ira qu'en cascadant si tu ne te prends pas en main. || dents sucrés en cuillère laissée dans un pot de tartinade chocolatée; sucette aux saveurs fruités collée sur la langue; le sucrier égrainer dans un café aux couleurs obscurs mais aux complications diabétiques avenantes. mais tu ne démontres aucune retenue devant un sac de croustilles. ||  propriétaire d'un permis de conduire, il t'arrive plus souvent d'utiliser la marche ou de siffler l'un des rares taxis traversant les rues tardivement. l'alcool en remplacement éphémère du sang; tu évites les drames tant que possible. mais ton impulsivité pourrait rompre cette règle d'or. || il t'arrive de te reposer dans l'une des chambres du rich hotel que tu sers. en parfait accord avec l'une des femmes de chambre, elle borde le lit derrière toi lorsque le matin chante ses louanges. || tu peintures ton portrait comme un parfait enfoiré. dans les faits, tu as seulement les os fracturés et des lésions au coeur. des marques invisibles qui gèrent tes élans émotionnels ; tant que tu n'acceptes pas les mains qui prennent de leur fierté pour se tendre. tu as le rire présent, l'écoute attentive et très certainement un savoir vivre qui est parfois lésé par tout le reste. || tu apprécies profiter de l'art au grand air. entre les ciné-park, les spectacles dans les villes voisines sur des grandes scènes extérieures : c'est peut-être l'unique façon que tu te sens réellement vivre. ||  
K.
g-eazy
gerald earl gillum
âge : oldie
région : canada
où as tu connu le forum : prpg
commentaires : c'est doux, tout ça. désolé d'apporter un peu de noirceur au lot !
connexions : comme ci, comme ça




Dernière édition par Macallister Exum le Dim 24 Oct - 19:04, édité 21 fois
Revenir en haut Aller en bas
Jessica Drake
Jessica Drake
avions de papier : 10
embarquement : 17/10/2021
langue rp : français, anglais.
pronom : tu.

vultures × Empty
MessageSujet: Re: vultures ×   vultures × EmptySam 23 Oct - 6:36

CET AVATAR. CE DÉBUT DE FICHE.
je suis amoureuse, c'est bon. aussi bien de tes mots que de l'histoire qui prend doucement forme vultures × 2230171649 je viendrais sans doute te demander un lien, je sais pas encore quoi mais je vais mettre mon petit cerveau en route et je viendrais promis  vultures × 2499448678  
bon courage pour la suite de la fichette vultures × 1648142930
Revenir en haut Aller en bas
Jules Ziegler
Jules Ziegler
avions de papier : 260
embarquement : 17/10/2021
langue rp : Français
pronom : elle

vultures × Empty
MessageSujet: Re: vultures ×   vultures × EmptySam 23 Oct - 8:35

On a toujours besoin d'un oeu de noirceur. vultures × 464146687
Bienvenu ! Et bon courage pour le reste de la fiche vultures × 2277146143
Revenir en haut Aller en bas
Aleksy Latka
Aleksy Latka
avions de papier : 17
embarquement : 21/10/2021
langue rp : français
pronom : tu

vultures × Empty
MessageSujet: Re: vultures ×   vultures × EmptySam 23 Oct - 12:41

Je valide le choix d'avatar vultures × 1003359112
Et ce début de fiche est plus qu'alléchant vultures × 3228766361 je suis la hype pour la suite vultures × 1850830122
Bienvenue sur le forum vultures × 3938029760
Revenir en haut Aller en bas
Invité

vultures × Empty
MessageSujet: Re: vultures ×   vultures × EmptySam 23 Oct - 15:32

Bienvenue sur le forum vultures × 354063242

J'aime beaucoup ton écriture, ça donne envie d'en savoir plus sur ton perso vultures × 354063242 Bon courage en tout cas pour finir ta fiche vultures × 2277146143
Revenir en haut Aller en bas
Lee Hastings
Lee Hastings
avions de papier : 37
embarquement : 22/10/2021
langue rp : français.
pronom : elle, she, her.

vultures × Empty
MessageSujet: Re: vultures ×   vultures × EmptySam 23 Oct - 16:57

je ne connais pas ton fc, il est magnifique. vultures × 179970156
et je meurs devant ce début de fiche. ta plume est superbe. vultures × 2459037085
j'ai hâte d'en savoir plus sur ton personnage. vultures × 3927126110
bienvenue sur le forum. vultures × 2404693861
Revenir en haut Aller en bas
Macha Romanov
Macha Romanov
avions de papier : 20
embarquement : 21/10/2021
langue rp : français
pronom : tu, elle..

vultures × Empty
MessageSujet: Re: vultures ×   vultures × EmptySam 23 Oct - 19:49

Welcome here mon beau I love you
Moi non plus je ne connais pas le fc, mais gosh c'est un excellent choix ! vultures × 179970156
Et cette écriture j'aime beaucoup, j'ai bien hâte d'en découvrir un peu plus à son sujet vultures × 354063242
Revenir en haut Aller en bas
Lys Dawson
Lys Dawson
avions de papier : 53
embarquement : 18/10/2021
langue rp : français
pronom : rp à la seconde personne.

vultures × Empty
MessageSujet: Re: vultures ×   vultures × EmptySam 23 Oct - 20:49

Bienvenue vultures × 2499448678
Revenir en haut Aller en bas
Macallister Exum
Macallister Exum
avions de papier : 9
embarquement : 23/10/2021
langue rp : français, dialogue bilingue
pronom : tu

vultures × Empty
MessageSujet: Re: vultures ×   vultures × EmptyDim 24 Oct - 4:44

j'aimerais bien tous vous tag individuellement,
mais c'est que j'ai le même taux d'affection pour tout le monde !
vous êtes vraiment des p'tits cubes de sucre, j'aime trop votre accueil  vultures × 2277146143
heureux de voir que le FC plait, il y a longtemps que je voulais le jouer,
puis que le personnage qui se dessine vous plaise ne serais-ce un peu.
au plaisir pour les liens.
vultures × 3938029760  

@Aleksy Latka
inutilement (peut-être pas uhuh)
j'pose ça là :
vultures × Tumblr-2b3636b6d4f9f734900c3ecd0594c00e-39f5d0b8-250

vultures × 39898678
Revenir en haut Aller en bas
Flora Blossom
Flora Blossom
avions de papier : 216
embarquement : 13/09/2021
langue rp : french
pronom : Tu/Elle

vultures × Empty
MessageSujet: Re: vultures ×   vultures × EmptyMar 26 Oct - 12:00

Mon tout beau, je te prie de m'excuser pour le délai I love you

Ta fiche est désormais validée, amuse toi bien vultures × 354063242
Revenir en haut Aller en bas
https://flylikepaperplanes.forumactif.com
Contenu sponsorisé

vultures × Empty
MessageSujet: Re: vultures ×   vultures × Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
vultures ×
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
FLY LIKE PAPER PLANES :: there is a lot of passengers in the plane :: You Make My Dreams :: Validées-
Sauter vers: